La régulation hygrothermique des bâtiments verts

Une bonne régulation hygrothermique est source de santé. L’humidité intérieure d’un lieu où l’on vit ou travaille, doit être situé entre 45% et 65% environ (40 à 70%).

Les bâtiments conventionnels ne savent pas gérer cette humidité par les parois, passant à longueur d’année du trop sec au trop humide.

Réguler l’hygrométrie par le système constructif permet de créer des conditions favorables et un environnement plus sain. Le confort hygrothermique concerne à la fois la température et l’humidité relative. Tout comme une température d’air trop faible ou trop élevée peut avoir un impact sur la santé, un air trop sec ou trop humide peut entraîner le développement de bactéries, de virus, de champignons, de mites d’infections respiratoires.

Le béton de chanvre  et les matériaux bio-sourcés et géo-sourcés, en régulant naturellement l’hygrométrie intérieure empêche le développement des moisissures et des bactéries ; Favorise un air ambiant sain et stable.

Un air trop humide, développe les moisissures, les acariens, les maladies respiratoires dont l’asthme, les problèmes articulaires, les rhumatismes, les maux de tête et la fatigue. Des taux d’humidité trop forts sont souvent compensés par un chauffage et une ventilation plus forte. Un mode constructif  qui régule l’humidité à un niveau d’efficacité jamais atteint.

La chaux utilisée comme liant, dans le béton de chanvre est un bactéricide naturel et répulsif contre les insectes les rongeurs.

L’OMS nous dit :  Un logement inadéquat concourt à plus de 100 000 décès par an dans la Région européenne de l’OMS, et cause ou contribue à de nombreux traumatismes et maladies évitables, notamment des maladies respiratoires, du système nerveux et cardiovasculaires ainsi que des cancers. Telle est la principale conclusion du rapport publié aujourd’hui par le Bureau régional de l’OMS pour l’Europe (OMS/Europe) intitulé Environmental burden of disease associated with inadequate housing (La charge environnementale de la morbidité associée à un logement inadéquat).

Selon le  Dr Margaret Chan, Directeur général de l’OMS 2007-2017, «les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à la pollution de l’air et de l’eau car leurs organes et leur système immunitaire sont en cours de développement et leur organisme, notamment leurs voies respiratoires sont de petite taille».

À l’échelle mondiale, des symptômes d’asthme sont actuellement signalés chez 11% à 14% des enfants de 5 ans et on estime 44% de ces symptômes sont liés à des expositions environnementales. La pollution atmosphérique, le tabagisme passif, ainsi que les moisissures et l’humidité à l’intérieur des habitations aggravent l’asthme chez l’enfant.

« La mauvaise qualité de l’air intérieur coûte quelque 19 milliards d’euros par an à la collectivité française (source : Anses/CSTB). »

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